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Marc van Dongen

Le périmètre intérieur


Dans Le Périmètre intérieur, rien n’est ennuyeux, rien ne laisse insensible, au contraire, car le regard que le narrateur porte sur le monde et sur lui-même est attentif aux plus infimes fissures et frémissements, et le récit – car il y en a bien un, même si la contrainte sur laquelle il se base vise à l’invalider – est captivant. Grandir, s’ennuyer, se mettre à l’épreuve, expérimenter ses limites, être ivre, avoir un accident, déplacer sa commode, tomber amoureux, être quitté, déménager, retomber amoureux, fumer à la fenêtre, se marier, avoir un enfant… autant d’épisodes qui sont en quelque sorte imbriqués dans les lieux où ils ont été vécus, et le récit entrelace descriptions et événements, rendant compte de «la poésie de l’ordinaire» tout en élaborant un discours réflexif sur le procédé qui le fonde.
Claudine Gaetzi (viceversa littérature.ch, 7 janvier 2019)

(…) petit livre dense à l’écriture magnifiquement ciselée (…) Entre mélancolie et cynisme, spleen et autodérision, en longues phrases acérées et précises, il trouve la juste distance pour évoquer la banalité du quotidien et les aléas d’une vie.
Anne Pitteloud (Le Courrier, 4 janvier 2019)

Son écriture aux longues phrases ciselées joue une petite musique teintée de mélancolie, de cynisme parfois et d’autodérision rendant ce parcours urbain – des embruns désinvoltes de l’adolescence à l’homme de maintenant – résolument singulier et littérairement remarquable.
Yann Courtiau (Le Rameau d’Or, 1er décembre 2018)

Dans Le périmètre intérieur, Marc van Dongen revisite vingt-huit lieux à Genève. Des rues et des quartiers qui l’ont constitué, des territoires de l’enfance à l’assise de la paternité. La ville du bout du lac Léman y est évoquée comme rarement (…) Les textes qui le constituent ne sont pas des instantanés, mais des ruminations sans dégorgements. Ils finissent par être poétiques. D’une poésie urbaine qui flotte entre ce coin du cœur, où s’amoncellent les traces de souvenirs, et cette atmosphère qui peuple les lieux d’une seule vie.
Thibaut Kaeser (L’Écho Magazine, 29 novembre 2018)

Avec ce court récit au style éblouissant, Marc van Dongen manie à merveille cynisme et mélancolie, ironie et résignation, ressassement et renaissance.
Stéphane Babey (Vigousse, 30 novembre 2018)

L’auteur du Périmètre intérieur se raconte à travers les adresses genevoises de sa vie. Acéré. Aucune parenté n’existe entre le peintre Kees van Dongen et Marc van Dongen (…) Ce père de famille quadragénaire peint avec les mots du vocabulaire. Son sujet? La ville qui est la sienne depuis l’âge de 8 ans (…) Du travail d’écriture lui-même, qui aboutit à des textes courts et souvent percutants, Marc van Dongen parle en jardinier. «Je n’ai fait qu’élaguer», dit-il.
Benjamin Chaix (Tribune de Genève, 29 septembre 2018)

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