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René Lièvre

Le regard du lièvre
139 photographies en duplex


Grâces de l’ombre (…) Il y a une tendresse et une humilité dans le regard de cet amateur éclairé. Son travail témoigne pour partie d’un monde englouti. Pourtant, les grâces éphémères qu’il saisit, ces beautés transitoires, continuent d’émouvoir.
Maxime Maillard (Le Courrier, 22 février 2019)

René Lièvre a un goût sûr de la composition des images, qui leur donne une valeur esthétique indéniable. Troupeaux de brebis, bâtisses défraîchies, familles nombreuses, pauvreté de la vie rurale ou des déshérités dans les rues françaises de Belfort… Et déjà une jeunesse élégante et des voitures… L’ouvrage Le regard du lièvre est magnifiquement édité, avec des textes d’Elisa Shua Dusapin.
Elisabeth Haas (La Liberté, 15 décembre 2018)

René Lièvre a su saisir des scènes du quotidien, trouver les cadrages et les lumières qui les mettaient en valeur, Retrouvé depuis peu, ce trésor restitue avec grâce la vie des deux côtés de la frontière jurassienne, témoignage d’un temps où les locomotives crachaient encore de la vapeur et où les jeunes filles se coiffaient comme Brigitte Bardot pour aller flirter au bord du Doubs.
Elisabeth Chardon (La Couleur des Jours, hiver 2018-2019)

Ces images rigoureusement construites font resurgir à contre-jour les années oubliées, des moutons en troupeau, une orée de brume, la terre retournée (ou est-ce l’écorce d’un chêne?), les visages de la ferme, un manège enchanté, un clochard qui s’éveille, les cheminées de Cendrars, les enfants de Doisneau, des croix fantômes. Nostalgique bien sûr, mais magnifiquement édité dans une mise en pages inspirée.
Pierre Savary (La Gruyère, 22 novembre 2018)

Il y a de la beauté, une beauté revendiquée avec des cadrages stricts et de jolies lumières, dans les photos de René Lièvre. Mais aussi beaucoup de nostalgie, venue d'un sentiment de déperdition. Une idée aussi due, bien sûr, au film argentique noir et blanc impliquant des tirages à la main. Nous sommes nombreux à regarder en nos jours ces images d'un temps lent jusqu'à l'immobilité. Tout nous attendrit, même les usines aujourd’hui désaffectées.
Étienne Dumont (blog Bilan, 4 novembre 2018)

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