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Jean-Louis Kuffer

L'enfant prodigue
roman


Un livre divinement écrit qui plaira aux solitaires qui, eux aussi, ont eu l'âme habitée par un oncle imaginaire.
Linn Lévy (Edelweiss, avril 2011)

C'est aussi, et d'abord, un livre sur l'enfance et les enfants. A ce propos, l'auteur, qui est père de deux filles, retient, à presque 64 ans, que «c'est à la naissance de mon premier enfant que j'ai pris conscience d'être mortel». Demain matin à l'aube, comme chaque jour, Jean-Louis Kuffer se mettra à écrire. Car écrire, c'est sa vie. Et écrire sur sa vie, fouiller sa mémoire, pour Kuffer, c'est nous inviter à l'entendre, à nous asseoir avec lui. Il a tant de choses à dire.
Philippe Dubath (24 heures du 28 février 2011)

C'est l'un des plus beaux livres de ce début d'année. Un livre tout à la fois intime et ouvert sur le monde. Un livre qui creuse au plus profond la terre du langage et emporte le lecteur, dès les premières lignes, dans un tourbillon d'images, de sensations et de musique(...) L'Enfant prodigue est un livre qui va compter non seulement dans l'oeuvre de Jean-Louis Kuffer, écrivain, journaliste, peintre et blogueur, oeuvre riche, déjà, et profondément personnelle. Mais également dans la littérature de ce pays qu'il ouvre sur le chant du monde.
Jean-Michel Olivier (jmolivier.blog.tdg.ch, 21 février 2011)

Ce livre est une symphonie. Vastes mouvements, reprise des thèmes, ressources multiples d'un écrivain au sommet de son art, jubilation de la langue (...) Cette langue que Kuffer travaille dans la pâte en même temps qu'il lui insuffle un rythme de danse. Il montre dans L'enfant prodigue une liberté, un souplesse rares. Inventivité, légèreté et épaisseur tout à la fois. Polyphonie aux plaisirs de lecture multiples.
Alain Bagnoud (Blogres, 18 février)

Comme du chapeau d'un magicien, au rendez-vous de sa mémoire émerge le «quartier des Oiseaux», le jeune Pilou - dont la mort est peut-être le passage le plus bouleversant du livre - Mickey de «la tribu maudite», mêlés au souvenir des Pieds Nickelés et de Winnetou aiguisant le regard au dedans comme au dehors de celui dont la demoiselle Champoussin, son institutrice, note qu'il «se laisse entraîner par son imagination.» (...) Entre mémoire et devenir, entre singularité et filiation, Jean-Louis Kuffer dessine avec L'enfant prodigue - vie et mort inextricablement mêlées - un bien beau chant du monde.
Claude Amstutz (lechoixdeslibraires.com, 17 février 2011)

(...) comme l'écrit très bien Jean-Louis Kuffer dans son nouveau livre, L'enfant prodigue. L'écrivain y évoque magnifiquement l'âge de ses 7 ans (puis celui de ses 16 ans), quand lui et ses petits camarades «se royaumaient» (car il n'y a pas d'autre mot pour dire ce moment miraculeux de l'enfance). Kuffer a raison: pour les garçons, il y a deux âges dans la vie, celui d'avant le sperme, et celui d'après l'arrivée du sperme.
Jean-François Duval (Migros Magazine, 14 février 2011)

Sous-titré «roman», L'enfant prodigue de Jean-Louis Kuffer tient pourtant des confessions d'un amoureux des mots. Procédant comme il dit joliment à des greffes de «mots en mots». Le narrateur réécrit sa jeunesse, dès le milieu des années 1950 dans les hauts de Lausanne, jusqu'à l'âge adulte et la révélation de la paternité. (...) Exercice délicieusement proustien que sublime Jean-Louis Kuffer par une écriture ouvragée, fluide, précise. Surtout loursqu'il s'agit de retrouver les observations, sensations ou émotions de l'enfant de sept ans.
Jacques Sterchi (La Liberté du 5 février 2011)

Kuffer fait danser la phrase, lui insufflant une efficacité mimétique. Il nous fait voir ce qu'il imagine, il nous promène dans le cirque de sa mémoire avec la verve d'un prestidigitateur (...) Par-delà bien et mal, un amour véhément de la vie qui n'évacue pas l'attention aux autres, à la femme demeurée que violentent les lascars du quartier, au petit Mickey méprisé par son père, battu par sa mère, et qui choisira la mort violente en se jetant sous un train. «L'enfant prodigue» est un long et magnifique poème que nous sommes invités à habiter.
Antonin Moeri (Blogres du 25 janvier 2011)

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