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Antoine Jaccoud

Country


Dans Country, Antoine Jaccoud est l'observateur aiguisé des moeurs contemporaines helvétiques qu'il dépeint avec une grande précision et sans fard, se mettant si bien à la place des personnages qu'il a choisis d'évoquer qu'il en adopte le vocabulaire et le phrasé familiers, voire populaires, et les rend encore plus vrais que nature.
Francis Richard (blog à lire ici, 13 décembre 2016)

D’un humour au trait noir et précis, les scènes de Country composent un panorama hilarant et glaçant du petit-bourgeois helvétique.
Isabelle Rüf (Le Phare No 24, septembre 2016)

Sa prose éloquente va droit au but, en 27 minuscules portraits-charge qui sont autant de saillies efficaces contre le véganisme, la beaufitude ambiante ou l’inanité politique de nos démocrates décentrés (…) Acerbe, acide, tragique et musclé, Jaccoud fait écho aux désenchantements de notre Suisse contemporaine avec un humour ravageur.
Thierry Raboud (La Liberté, 2 juillet 2016)

C’est ainsi avec finesse, avec tendresse, que l’écrivain lausannois (…) épingle nos failles et nos ridicules. Il n’hésite pas, d’ailleurs, à se moquer de lui-même. Et si l’on rit avec lui, c’est bien parce qu’on se reconnaît dans le miroir qu’il nous tend.
Anne Pitteloud (Le Courrier, 17 juin 2016)

Il aime divulguer: notre rapport au corps, nos faiblesses et nos ridicules. L’humain simplement. Et toujours avec une profonde mélancolie drolatique. Dans le texte «Altersheim», il imagine les jeunes gens d’aujourd’hui, avec leurs tatouages et leurs piercings, devenus pensionnaires d’une maison de retraite en 2063. Sa technique: donner à voir, mettre le doigt sur le détail qui tue: «Une immense tête de mort sur la fesse gauche de Mademoiselle Imholz», «une boucle en or dans le nez de Monsieur Boillat», etc. Lisez-le, en huit phrases tout est dit.
Julien Burri (Le Temps, 14 juin 2016)

Country est un psautier moderne sans foi ni loi, qui ne semble guère destiné à quelque prestation cinématographique. L’auteur s’y exprime à la première personne, mais pour se jouer de lui-même, en se mettant en miroir des autres. Avec une foi de charbonnier, d’évidence douteuse, il caricature, par petites touches corrosives et diaprées, les vies quotidiennes d’aujourd’hui les plus ordinaires.
Gilbert Salem (24 Heures, 14 juin 2016)

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