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Antoine Jaccoud

Adieu aux bêtes


Comme tous les plus grands, Antoine ne se prend pas pour un auteur, et donc (il ne faut pas le lui dire) il en est un. Il y a chez lui une zone particulière qui travaille sur les pulsions les plus secrètes et les plus vives de l’être humain. Avec lui on est dans des parties obscures d’amour et de désir.
Mathieu Amalric (RTS Versus-lire, 23 novembre 2017)

Ecrit pour le théâtre, ce monologue d’Antoine Jaccoud se savoure comme un pavé de boeuf sauce béarnaise. Non, c’est moins copieux et plus fin. Des cuisses de grenouille? Bref, un de ces plats qui a coûté la vie à un, voire plusieurs animaux(…) On peut ne pas être d’accord avec la thèse plus ou moins évidente développée dans ce monologue, mais apprécier que la question de notre rapport aux bêtes soit posée et se laisser happer par la langue, son rythme et les images évoquées.
Laurence de Coulon (La Gruyère, 8 juin 2017)

De médire des bêtes ou de les manger, tu n'as pas de quoi être fier. A quoi bon t'en confesser, puisque le mal est fait de toute façon. Changer de pitance ne t'a en effet servi à rien, puisque d'autres que toi en ont pris prétexte pour accélérer le départ des bêtes... Beau résultat, après quatorze mille ans: Nous voilà seuls. Entre nous, somme toute.
Francis Richard (blog, 5 mai 2017)

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