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Laure Chappuis

La petite bête
roman


Faire parler un enfant est une gageure pour un auteur. Laure Chappuis évite presque complètement les pièges du genre.
Isabelle Rüf (Journal du Centre Culturel Suisse, février-avril 2013)

L’auteure utilise un style simple, efficace, qui n’a d’enfantin que l’apparence. En effet, contrairement à son premier texte, un tantinet précieux, La petite bête permet à l’auteure de varier son écriture, qui apparaît ici maîtrisée, fluide, laissant une place au langage candide de la fillette, sans pour autant verser dans l’artificiel.
Bernadette Richard (Le Quotidien Jurassien, 27 octobre 2012)

Un deuxième roman attachant et malicieux, qui renoue avec l’enfance (...) Une vie bruissante de petites bêtes, tachée de couleurs fruits et légumes, et que l’auteure recompose en brefs tableaux, accolés à la façon des morceaux d’un puzzle. Dont chaque bribe possède suffisamment de sève, tantôt comique, tantôt douce-amère, pour tenir debout toute seule.
Dominique Bosshard (L’Express Magazine, 15 octobre 2012)

Tout baigne et pourtant des peurs et des angoisses troublent les images d’Epinal. La grande soeur semble mal tourner et la mère suicidaire a «une sacrée araignée au plafond». La mort rôde. Le drame menace. Comme dans les meilleures familles.
Jean-Bernard Vuillème (Le Temps, 13 octobre 2012)

L’auteur retrace avec malice, à travers les yeux d’une enfant, toutes les saveurs perdues de « quand on est petit » (...) Accordez-vous quelques instants de paix, asseyez-vous au soleil et lisez ce court roman aux senteurs de blé coupé, qui vous emportera loin du bruit et dont la petite musique pénétrera votre âme comme un bonheur tourmenté.
Vincent Bélet (libraire Payot, La Chaux-de-Fonds)

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