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Laure Chappuis

L'Enfant papillon
récit


C'est une sorte de poème en prose, d'une écriture superbe et d'une dureté efficace, dont on ne sort pas intact.
Suisse Magazine (janvier 2010)

Une écriture tendue et poétique, riche de métaphores et d'images, court le long de ce tissu de sensations et de rêves à propos de la maternité et de la stérilité, où le corps de la femme et de la nature expriment un désir assassiné.
Laurence de Coulon (La Vie Protestante, juin 2009)

C'est un petit récit dense et bouleversant (…) L'Enfant papillon se lit d'une traite. Il touche au cœur et reste longtemps dans la mémoire du lecteur.
Jean-Michel Olivier (Scènes Magazine, juin 2009)

Un récit poétique d'une rare intensité. (…) Anachronique, cette histoire? Délicieusement. Mais quand elle ouvre sur la cruauté et le travail du langage, on s'aperçoit que Laure Chappuis a accouché d'une solide écriture. On attend la suite de la progéniture.
Yves-André Donzé (Le Quotidien Jurassien du 25 avril 2009)

(…) Elle a réussi à donner à sa prose poétique un effet tantôt doux, tantôt tranchant, à l'image de la photographie de la couverture. Au premier abord, on dirait une fragile aile d'insecte, avant de réaliser qu'il s'agit des éclats dangereux d'une vitre brisée.
Julien Burri (Femina du 19 avril 2009)

On est ébranlé par le beau récit de Laure Chappuis. (…) Très poétique, la langue reste fortement incarnée, la douleur crie ou suinte à travers tout le corps (…) Laure Chappuis n'a jamais tenu de journal intime. Privée de cette matrice adolescente, l'écriture de sa noire macération au creux de soi n'en est pas moins magnifique.
Dominique Bosshard (L'Express et L'Impartial du 18 avril 2009)

Attention, petit chef-d'œuvre. Le livre de Laure Chappuis (…) est une perle. Certes, le sujet traité de manière un peu ringarde pourra ennuyer, peu importe, puisqu'il impose une voix, un ton, une écriture solide, dense, d'une élégance et d'un raffinement dont on a peu l'habitude.
Bernadette Richard (L'Hebdo, avril 2009)

Une langue délicate et émouvante pour parler d’un événement grave au plus riche sens du terme, et que seule la disponibilité de cœur peut rendre, selon les cas, heureux ou tragique. Un très beau contrepoint aux affiches lourdement aguicheuses des journaux populaires sur un tel sujet…
Vincent Belet (Librairie Payot, 6 mars 2009)

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