Des traits noirs comme des cris silencieux. Fulgurants, poignants,
sombres, sordides parfois. D’abord discrets contrepoints aux images instantanées,
les dessins d’Augustin Rebetez dévoilent la part plus secrète d’un travail qui se
glisse en un souffle pour saisir les tripes. Comme un exutoire dans la profondeur du
noir d’encre.