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Jean-Pierre Rochat

Lapis-lazuli


Comme la femme apparue dans le quotidien du paysan, l’écriture de Rochat vous attire et vous prend dans sa toile. Cent quarante pages d’une narration qui sonne très, très juste.
Yves-André Donzé (Le Journal du Jura, 2 mai 2015)

Jean-Pierre Rochat excelle à dire ces élans inespérés du coeur et du corps. Et même si le livre n’a pas tout à fait la profondeur de L’écrivain suisse allemand, on reste admiratif de ce travail sur la langue, râpeuse, haletante, qui roule et rebondit comme un torrent: «Quand elle chante, son corps épanoui a déjà vécu, sa voix sourde est un piège en plus. Les beaux pièges dans lesquels on aime tomber, si seulement j’avais le plaisir d’écrire jusqu’à ma mort.»
Éric Bulliard (La Gruyère, 7 mai 2015)

Fort en gueule, tendre et brut, son écriture coule avec une force vitale au sang toujours revivifié. Rochat manie l’art des images et des saveurs comme un peintre réaliste. Il y a chez lui une vraie poésie de la tendresse (…) De sa brève relation avec cette fée hyperactive et bandante comme nulle autre, Rochat tire un roman, un témoignage, une ode à l’amour fou. Pure magie.
Bernadette Richard (Notre Temps, mai 2015)

Jean-Pierre Rochat est un de nos meilleurs auteurs. Depuis qu'il s'est mis au roman, le jurassien bernois a éclaté sur la scène littéraire. Après L'écrivain suisse allemand, qui lui a valu le prix Dentan, il nous offre Lapis-Lazuli, qui se déploie dans le même univers paysan, charnel et savoureux. (…) Qu'il faut lire absolument, à cause du bonheur des mots, de l'exotisme du contexte et de la sensualité du tout.
Alain Bagnoud (Blogres, le blog d'écrivains, 13 avril 2015)

Tout n’est donc pas d’un bleu azuréen dans cette idylle virginienne corrigée par les réalités jurassiennes. D’autant que la jalousie se mêle à l’affaire. A cause de Lapis-lazuli. Mais aussi de l’écrivain Serrurier: rival admiré et terriblement envié. Ce narrateur ballotté entre la lucidité et les réconforts de la mauvaise foi, on ne peut s’empêcher de l’aimer. Si on devait le situer, ce serait à mi-chemin entre Woody Allen et Maurice Chappaz.
Michel Audétat (Le Matin Dimanche, 12 avril 2015)

Une longue phrase s’enroule autour de toi, un univers t’attrape, à te faire dégouliner la rétine (…) Jean-Pierre Rochat choisit de parler d’amour. Bien plus singulière frappe sa manière, ce tangage entre la crudité de la grosse carotte et ses raisons d’être amoureux de l’amour.
Corinne Desarzens (Terre & Nature, 9 avril 2015)

Lapis-lazuli est plus léger, plus érotique, plus vite écrit peut-être aussi. On ne boude néanmoins pas son plaisir à retrouver le ton de l’auteur, ses phrases parlées-écrites, ses thèmes récurrents. Et on ne s’ennuie pas une minute. Le paysan-écrivain est toujours là, fidèle au poste, à ses chèvres, à ses chevaux. Il est plus âgé. Il est revenu de ses idéaux des années 1970 et 1980, du rêve de tenir les machines à l’écart et de tout faire à la force des hommes et des chevaux. Le gros de sa vie est derrière et surtout, sa femme est partie avec un jeunet.
Lisbeth Koutchoumoff (Le Temps, 28 mars 2015)

Quand il explore les sentiments, son écriture se fait à la fois brute et délicate. Pour son dixième roman, il parle du coup de foudre, du sexe fou et de la nostalgie (…) un cadeau pour le lecteur, un plongeon dans un univers littéraire à la fois brut de décoffrage et tout en finesse intellectuelle.
Bernadette Richard (Le Quotidien Jurassien, 26 mars 2015)

Quand on ouvre Lapis-Lazuli, quelle que soit la page, on se dit: voilà de la littérature. Entendez par là une langue où la matière infiniment volatile du vécu a été transposée, pétrie, domptée dans ce que Luc Fraisse – à propos de Marcel Proust – appelle la «petite musique du style». Et qui est si rare sans ambages ou air poseur.
Maxime Maillard (Le Courrier, 21 mars 2015)

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