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Bernadette Richard

Heureux qui comme


Et voici que la romancière débarque avec ce beau livre, intense, qui résonne d’enfance et de rêves, de musique, d’aventures et de voyages, de lointains et d’intime, mais aussi de paysages et d’animaux observés au quotidien (…) de cet enchantement qui vibre dans la phrase d’une nature de merveille, ici retrouvée et redécouverte. Tel Ulysse. Mais ici et maintenant dans le temps de ces pages qui chantent.
Jean-Dominique Humbert (Coopération, 13 février 2018)

Avec Bernadette Richard, grande voyageuse comptabilisant un nombre astronomique de déménagements et nourrissant une relation complexe – plutôt conflictuelle – avec sa région natale, on aurait pu s’attendre à quelques règlements de comptes pas piqués des vers. Rien de tout ça (...) Outre ce jeu d’échos, bien sûr impossible sans nomadisme, Bernadette Richard inscrit sa narration sur plus de six décennies et porte un message apaisé de la génération revenue de Woodstock, de l’union libre et de l’aspiration à une liberté sans limite.
Jean-Bernard Vuillème (Le Temps, 16 décembre 2017)

Un livre de la maturité joliment ciselé, limpide, la synthèse de l’existence du baroudeur, ou de la baroudeuse, qui se rend compte que la beauté et le sel de la vie tiennent finalement dans un petit périmètre, le sien.
Mireille Chèvre (Le Quotidien Jurassien, 14 décembre 2017)

Un très beau livre, donc, riche, profond, original, peut-être le meilleur livre de Bernadette Richard qui a beaucoup donné à la littérature romande et est encore trop injustement méconnue.
Jean-Michel Olivier (Blog Tribune de Genève, 11 décembre 2017)

Un hommage à la nature jurassienne (…) L’oeuvre, dont la puissance des couleurs et la légèreté rappellent la forme du conte, illustre la puissance de l’attachement à la terre. Elle démontre la force par laquelle l’homme, même voyageur, finit par y revenir.
Adrian Vulic (Le Journal du Jura, 10 novembre 2017)

Le livre qui s’ouvre à moi est un appel, une magnifique voie nomade. J’ai suivi Georgette et Émilie dans leurs jardins, je suis maintenant Clément qui trouve refuge dans les arbres! Il a même baptisé son fidèle aulne, «Schiller» en raison de son allure, son spleen échevelé. Les arbres sont des paradis cachés. Reviens-y! Quel bonheur!
Cora O'Keeffe (http://blogres.blog.tdg.ch, 3 novembre 2017)

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