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Cinq sur cinq
Cruautés? Écrits du valais Jura, l'usage des sens Reportages climatiques Jean-Marie Adatte Francis Amoos Laurent Antonoff Alain Bagnoud Claude-Inga Barbey Daniel Baudraz Jacques Bélat Bern ist überall François Beuchat Roland Biétry Sylvain Boggio Laurence Boissier Jean-Jacques Bonvin Jean-Pierre Bregnard Romain Buffat Jean Buhler Nicolas Buri Julien Burri Alexandre Caldara Caractères mobiles Céline Cerny Laure Chappuis Miruna Coca-Cozma Odile Cornuz Claude Darbellay Daniel de Roulet Corinne Desarzens Jean-Yves Dubath Simon Edelstein Raymond Farquet Guillaume Gagnière Éric Gentil Elodie Glerum Anne-Lise Grobéty Julie Guinand Blaise Hofmann Mathias Howald Jean-Louis Kuffer René Lièvre Gérard Lüthi Maxime Maillard Denis Maillefer Frédéric Mairy Éric Masserey Jérôme Meizoz Pierre-André Milhit Sandra Modiano Michel et Jacqueline Monbaron Roger Monney Stéphane Montavon Grégoire Müller Pascal Nordmann Maxime Pastore Gilbert Pingeon Anne Pitteloud Valérie Poirier Jean Prod'hom Fabienne Radi Augustin Rebetez Pascal Rebetez Bernadette Richard Guillaume Rihs Yves Robert Jean-Pierre Rochat Antoinette Rychner Thomas Sandoz Bertrand Schmid Maurice Schobinger Bettina Stepczynski Jacques Tornay Bernard Utz Marc van Dongen Olivier Vogelsang Alexandre Voisard |
Antoine Jaccoud Adieu aux bêtes Comme tous les plus grands, Antoine ne se prend pas pour un auteur, et donc (il ne faut pas le lui dire) il en est un. Il y a chez lui une zone particulière qui travaille sur les pulsions les plus secrètes et les plus vives de l’être humain. Avec lui on est dans des parties obscures d’amour et de désir. Mathieu Amalric (RTS Versus-lire, 23 novembre 2017) Ecrit pour le théâtre, ce monologue d’Antoine Jaccoud se savoure comme un pavé de boeuf sauce béarnaise. Non, c’est moins copieux et plus fin. Des cuisses de grenouille? Bref, un de ces plats qui a coûté la vie à un, voire plusieurs animaux(…) On peut ne pas être d’accord avec la thèse plus ou moins évidente développée dans ce monologue, mais apprécier que la question de notre rapport aux bêtes soit posée et se laisser happer par la langue, son rythme et les images évoquées. Laurence de Coulon (La Gruyère, 8 juin 2017) De médire des bêtes ou de les manger, tu n'as pas de quoi être fier. A quoi bon t'en confesser, puisque le mal est fait de toute façon. Changer de pitance ne t'a en effet servi à rien, puisque d'autres que toi en ont pris prétexte pour accélérer le départ des bêtes... Beau résultat, après quatorze mille ans: Nous voilà seuls. Entre nous, somme toute. Francis Richard (blog, 5 mai 2017) > retour |
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