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Jean-Jacques Bonvin

Le troisième animal


La mère se dessèche, un lent flétrissement dans la frustration puis la folie. On comprend que la narration tournait autour de ce point aveugle, comme si cette histoire avait «qualité d’autobiographie (toute ressemblance avec des personnes existant ou ayant existé relève de la fatalité)». Jean-Jacques Bonvin l’atteint, évitant le pathos avec l’élégance qu’il avait mise dans les récits américains.
Isabelle Rüf (Le Temps du 9 août 2014)

C'est une enfance racontée comme un petit théâtre, un album d'images. Un «dépotoir familial» noir dépeint avec des couleurs enjouées, une douce ironie, de l'élégance et un rythme sautillant.
Julien Burri (L'Hebdo du 24 juillet 2004)

Dans une des plus belles pages du Troisième animal, le lecteur entend la grand-mère lire à haute voix des histoires où il est question de Richard Coeur de Lion. «Elle lit avec la volonté têtue de bien dire, de bien prononcer, de me séduire moi, qui écoute et entends, à qui est destiné ce travail d’élocution.» Cette grand-mère qui, levant les yeux du livre, se met à rire, donnant libre cours au «bonheur de se souvenir de ce qu’elle lit et a déjà lu».
Antonin Moeri (Blogres, 29 juin 2014)

Si le personnage principal se bat pour ne pas se laisser dévorer par ce diable que peut être la vie, ce roman quant à lui est à dévorer comme un animal affamé.
Flora Midy (Vigousse, 27 juin 2014)

Le laconisme est un art difficile ; il est donc remarquable que Jean-Jacques Bonvin le pratique avec autant de talent (…) La suite est à l’avenant. Elégance. Ironie ciselée. Légèreté dans la gravité. On tombe sous le charme de cet écrivain né à Fribourg et vivant à Genève (…) Enfance rejouée comme une farce gothique et cruelle.
Michel Audétat (Le Matin Dimanche, 22 juin 2014)

Ce texte magnétique et sombre, comme les précédents Ballast et Larsen (parus aux Editions Allia), est magnifiquement rythmé. Chez Jean-Jacques Bonvin, le fond reste indissociable de la forme. Le singulier et brillant écrivain genevois publie, cette fois, Le troisième animal, aux Editions d’autre part, l’histoire tranchante d’une enfance désincarnée. La sienne sans doute. La nôtre au bout du compte.
Linn Lévy (Edelweiss, juin 2014)

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