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Laurence Boissier

Cahier des charges
nouvelles


Laurence Boissier sait aussi tisser des odes à la fatalité, telles ses lignes consacrées à une vieille ferme qui «achève sa descente vers le lac. Sans fracas.» Où les personnages eux-mêmes paraissent glisser vers un destin décousu. Qu'elle parle de certains ateliers d'écoles d'art, d'une rage savamment préparée contre une mère sans doute abusive, d'un passage chez le dentiste, Boissier s'applique à semer le malaise avec un art consommé.
Bernadette Richard (Le Quotidien Jurassien, 14 avril 2012)

L'humour, en littérature, est chose subtile qui demande une certaine maîtrise dans l'art de la suggestion autant que dans celui de la subversion. Laurence Boissier y parvient à merveille au fil de textes pince-sans-rire aussi brefs qu'efficaces, traversés par un humour ravageur et tout en demi-teinte, qui naît d'un jeu avec les attentes du lecteur ainsi que d'un décalage entre le ton et le propos (...) Ecriture précise et finesse de la construction achèvent de ciseler ces récits singuliers.
Anne Pitteloud (Le Courrier du 25 février 2012)

Pour Laurence Boissier, écrire c'est jouer. La parodie l'amuse. Elle détourne volontiers des matériaux qui n'ont rien de littéraire: le procès-verbal, le discours statistique... Mais son humour lui sert aussi à accroître l'étrangeté du monde. Au-delà du cocasse, il y a chez elle un sens de l'absurde qui se dépose comme un vernis à la surface des réalités ordinaires.
Michel Audétat (Le Matin Dimanche du 25 décembre 2011)

Elliptique, c’est l'adjectif qu’on emploie je crois pour qualifier ce genre de style. Raconter le plus en disant le moins. Mais avec une ironie à froid et un humour «Arsenic et vieilles dentelles» qui font de ces textes de Laurence Boissier un bijou qui devrait être beaucoup plus parlé, comme dit Yves Velan, c’est-à-dire: dont les journalistes culturels devraient parler.
Antonin Moeri (Blogres du 22 novembre 2011)

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