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François Beuchat

Les heures bleues


Observations, sentiments, idées, petites narrations, brefs poèmes en prose offrent à la lecture la musique fragile, tenace et pénétrante dont il a le secret. (…) Ce livre, mince mais impressionnant, rayonne d'une grande tendresse mélancolique pour l'humanité entre humour discret et lyrisme léger.
Françoise Delorme (viceversa littérature.ch, 27 juillet 2016)

Jeune septuagénaire, fumeur de Gitanes sans filtre devant l’éternel, Beuchat offre ses ressources chantantes au tout-venant de l’existence, aux fantômes du passé comme aux dames d’à côté. Ce faisant, il nous livre les secrets de son art de vivre, tout entier tourné vers la littérature.
Maxime Maillard (La Côte, 29 janvier 2016)

Pascal Rebetez, éditeur attentif aux voix différentes, hors moules, est déjà celui qui avait remarqué les tessons de Jean Prod’hom. C’est aussi lui qui publie les fragments de François Beuchat, navigateur en solitaire, sur les courants de la mémoire.
Lisbeth Koutchoumoff (Le Temps, 19 décembre 2015)

François Beuchat écrit surtout dans son lit, dont il sort peu. Portrait d’un homme qui aurait aimé être comme tout le monde… il décrit le cimetière des choses de la vie, ce qui était et qui n’est plus. Le vieil enfant des longues nuits raconte dans son dernier livre «les heures bleues» des vécus d’antan. «Je suis resté un vieux gamin. Le mot adulte m’a toujours fait prendre mes jambes à mon cou.»
Thierry Luterbacher (Biel-Bienne, 16 décembre 2015)

Il y a quelque chose de Walser chez Beuchat, une attention méticuleuse aux petites choses de l’existence et un retrait du monde assumé et joyeusement mélancolique. Même les passages déprimants y ont un petit air joyeux: «car je suis fatigué par le bruit des années, plus durable qu’une mouche, ou qu’un papillon jaune. Je dure trop, c’est ma peine, mea culpa! Coucou!»
Jean-Bernard Vuillème (Le Temps, 12 décembre 2015)

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